Sur le plan du capital social, il faut prioritairement toucher ceux dont la parole et les décisions disposent d’une force d’entraînement. S’il est bien sûr louable qu’un salarié de la finance se reconvertisse dans l’élevage de chèvres, sa force d’entraînement demeure dérisoire par rapport à la décision d’un richissime investisseur d’arrêter ses placements dans les énergies fossiles.