Moscou et Kiev s’accusent d’être responsables de la destruction partielle du barrage de Nova Kakhovka sur le Dniepr. Mais c’est clairement l’Ukraine qui subit les conséquences, d’abord humanitaires, mais aussi en devant revoir ses plans d’offensive militaire sur les lignes russes.
Lorsque les deux parties dans un conflit s’accusent mutuellement d’une action aussi importante que la destruction du barrage de Nova Kakhovka, il n’y a qu’un seul moyen pour tenter de comprendre ce qui se joue : c’est de savoir à qui profite le crime.