Face aux déclarations retentissantes de Salah Abdeslam et au grand déballage du procès-fleuve des attentats parisiens, les médias – qu’ils soient français ou étrangers – doivent se montrer à la hauteur. Le pire serait qu’ils deviennent, sous prétexte d’informer, une caisse de résonance et un amplificateur à polémiques