Le GNL représente un levier important pour que l’Europe puisse s’affranchir du gaz russe mais il a aussi ses limites. Certains pays européens comme la Pologne ou la Lituanie ont construit des terminaux GNL pour moins dépendre de la Russie. Mais d’autres comme l’Allemagne n’en ont pour l’instant aucun. Au-delà des terminaux, c’est ensuite le transport par gazoduc au sein du continent européen qui bloque, par manque d’interconnexions à certains endroits.