Mémoire perturbée, difficultés de concentration et de prise de décision… Depuis plusieurs années, des chercheuses et chercheurs aux quatre coins du monde s’intéressent de près aux effets de différents types de pollution sur le cerveau humain, en particulier ceux liés à la pollution de l’air. Les premières études disponibles affichent des résultats préoccupants.
Pollution
Lorsque les nations les plus puissantes de ce monde ont multiplié les lancements de satellites, elles ont probablement oublié un petit détail: ceux-ci n’étant pas destinés à être fonctionnels jusqu’à la fin des temps, il aurait été judicieux de réfléchir dès la conception à un moyen de les recycler ou de les récupérer sur Terre. Au lieu de cela, l’espace commence à ressembler à un dépotoir.
Les Etats membres se sont enfin mis d’accord sur le premier traité international destiné à lutter contre les menaces qui pèsent sur des écosystèmes vitaux pour l’humanité. Avec les progrès de la science, la preuve a été faite de l’importance de protéger tout entier ces océans foisonnant d’une biodiversité souvent microscopique, qui fournit aussi la moitié de l’oxygène que nous respirons et limite le réchauffement climatique en absorbant une partie importante du CO2 émis par les activités humaines.
Les explosions de septembre 2022 qui ont fait sauter les pipelines Nord Stream, reliant la Russie à l’Allemagne au fond de la mer Baltique, ont entraîné une catastrophe écologique et mis en danger les espèces locales et menacées, selon une étude récente de Research Square. « Nous avons enfoncé un nouveau clou dans le cercueil de la mer Baltique. Le rapport montre que beaucoup de dégâts ont été faits et que beaucoup de substances toxiques sont remontées dans la colonne d’eau ». Les explosions et les jets d’eau qui ont suivi ont remué plus de 250 000 tonnes de fonds marins contaminés contenant des substances toxiques.
Alors que l’Europe traverse son été le plus sec depuis cinq-cents ans, les fleuves, rivières et lacs du continent font face à des bouleversements majeurs, tant sur le plan environnemental qu’en matière d’exploitation commerciale. La sécheresse pourrait ainsi affecter durablement leur fonctionnement à l’avenir.
Le commerce international des déchets a été multiplié par quatre entre 1992 et 2016, selon la Commission européenne. À cette date, l’UE a exporté environ 40 millions de tonnes de déchets, soit environ 20 % de la part mondiale.
La taxe kilométrique proposée par la Région de Bruxelles-Capitale aurait le mérite d’imputer le coût externe à celui qui le génère et de faire contribuer au financement de l’infrastructure et aux coûts externes au prorata de son utilisation.