Pas de F16 belges pour l’Ukraine. C’est la position défendue par la ministre de la défense et le Premier ministre. Par contre, la Belgique propose de former des pilotes ukrainiens. Une position très prudente. Face à la menace Russe, la Belgique a décidé d’en faire le minimum et de rester sur le banc. Ce qui est frappant, c’est que cette politique du minimum est présentée comme un non-choix. « On ne peut faire qu’avec ce qu’on a ». Explication confortable, tant sur le plan budgétaire que politique. La coalition Vivaldi aurait bien des difficultés à aller plus loin.