La drogue du viol circule. Beaucoup et un peu partout. Elle ferait même des dégâts inouïs et les témoignages des victimes bruxelloises ne seraient que la part immergée de l’iceberg. Une enquête menée au niveau européen montre que pour 18 % des Belges, être ivre ou avoir pris de la drogue justifie le viol.