En trois mots prononcés lors d’un discours apparemment ordinaire, le président américain a involontairement fourni du grain à moudre à la sphère complotiste. Le nouvel ordre mondial en tant que mythe complotiste naît dans les années 1950 au sein de l’extrême droite anticommuniste américaine.
Complotistes
D’après l’Observatoire belge de l’extrême droite RésistanceS, les manifestants des marches contre les restrictions sanitaires viennent de tous les horizons, mais pas les organisateurs.
Les excités de cette «révolution monétaire» s’y réfugient soit par méfiance vis-à-vis de leur Etat, soit par perte de confiance en leur monnaie dont ils estiment qu’elles ne vaudra plus grand-chose demain du fait de l’activisme des banques centrales. Soit pour les deux raisons, qui sont hélas un peu confuses dans des esprits n’ayant en général aucune culture historique, prompts à échafauder et à privilégier les scénarios les moins vraisemblables.