88 services de police dans 24 pays ont déjà eu recours à Clearview. La police fédérale belge l’a d’abord nié mais elle l’a également utilisé. La tentation est très forte dans le chef du pouvoir d’utiliser ces outils-là pour pouvoir interconnecter des bases de données toujours plus nombreuses. Je suis persuadé qu’il y a plein de forces de police en Europe qui voudraient pouvoir se servir de ces outils-là dans des conditions plus larges qu’aujourd’hui ».