« Protect my face » (Protège mon visage): c’est le nouveau slogan adopté par des associations qui viennent de lancer une pétition pour interdire cette technologie dans l’espace public bruxellois. Ensemble, ils demandent au Parlement bruxellois d’agir, la police ayant recours à cette technique malgré l’absence de cadre légal. Une utilisation qui, selon les signataires, pose de sérieux risques pour les libertés individuelles et pourrait engendrer des dérives inquiétantes.
Bruxelles
Jugé anachronique et désavantageux pour les Etats, ce traité représente un frein à la transition énergétique. C’est un accord multilatéral de commerce et d’investissement applicable au secteur de l’énergie. Il a été conclu dans les années 1990 avec la Russie afin d’assurer la sécurité des approvisionnements, essentiellement en énergies fossiles.
Les partis francophones se préparent-ils pour une prochaine réforme de l’État ? La Libre révèle que les responsables des partis La Libre révèle que c’est à l’initiative d’Ahmed Laaouej, président de la fédération du PS bruxellois, que se sont réunis les responsables bruxellois du MR, d’ECOLO, des Engagés et de Défi. Et donc pas le PTB. Au menu une stratégie des francophones bruxellois, mais sans le PTB, en vue des prochaines élections et d’une possible réforme de l’État qui concerne Bruxelles.francophones bruxellois se sont vus récemment pour en parler.
Le procès des attentats de 2016 à Bruxelles s’est ouvert hier. Depuis 2018, le groupe « Retissons du lien » fait de la prévention contre la radicalisation et tente de soigner les blessures intimes de tous ceux que ces attaques ont concernés.
le Wallon Paul Magnette, le Bruxellois Sven Gatz et l’Ostbelgier Karl-Heinz Lambertz verraient bien une Belgique à quatre régions et la fin des communautés. Mais une étude du Dulbea analyse les conséquences financières pour bruxelles. Et c’est un problème comme le soulignent ici Paul de Grauwe et Philippe Defeyt.
Dans les grandes villes comme dans les petits villages, les nouveaux plans de mobilité suscitent toujours des résistances. Mais à Bruxelles, le ton devient passionné, voire carrément agressif. Comment expliquer cette situation ?
Qu’on le veuille ou non le plan de mobilité est bien le fruit d’une décision démocratique. Un plan lancé il y a deux législatures, porté par deux gouvernements successifs, implémenté par des conseils communaux et des échevins qui ont bien la légitimité pour le faire. Vouloir physiquement s’y opposer, démonter le travail des agents communaux, affronter les policiers venu maintenir l’ordre c’est jouer la loi de la rue contre le processus démocratique.
Le parlement Bruxellois débat de l’abattage rituel sans étourdissement. Un abattage déjà interdit en Wallonie et en Flandre. Un dossier hypersensible qui divise la majorité PS-ECOLO-DEFI et qui divise les partis eux-mêmes. Une chose est certaine, quel que soit le vote, il va laisser des traces.
Lorsque le fait régional s’est imposé, la remise en cause de ces ouvrages imposés à Bruxelles dans les années 70 est devenue progressivement une revendication politique à Bruxelles. Mais bon nombre de wallons et les flamands ont toujours des difficultés à l’accepter. Manifestement, la représentation du rôle très “utilitaire” de la capitale de la part de certains élus wallons et flamands reste forte.
Le président des socialistes flamands, Conner Rousseau, suscite la polémique : quand je passe en voiture dans Molenbeek je ne me sens pas non plus en Belgique. Les socialistes francophones ont vivement réagi, les socialistes flamands l’ont largement soutenu. L’épisode démontre la faille qui sépare le nord et le sud au sujet de l’intégration et du sentiment national.
Le taux de vaccination décevant de la capitale sanctionne son échec face aux inégalités sociales de santé. Depuis plusieurs années déjà, une partie de sa population est sortie du circuit médical. Le terme “fracture médicale” est encore peu utilisé mais c’est pourtant bien à cela que l’on assiste dans les grandes villes, et Bruxelles ne déroge pas à la règle: une population, plutôt paupérisée, qui se coupe du circuit médical et s’isole au risque de mettre sa santé en péril.
« Une équipe de 11 millions de Belges pour vaincre le coronavirus ! » La campagne « néo-belgicaine » lancée par le tout nouveau gouvernement fédéral en novembre 2020, le Premier ministre De Croo en tête. La Flandre de Jambon et De Wever grinçait des dents. Il s’agissait alors de « motiver et informer ». 10 mois, plus tard, il s’agit plutôt d’engueuler ! Au nom de tous les vaccinés, le Premier fédéral et le Premier wallon font les gros yeux aux non-vaccinés. Un peu comme les vaccinés reprochent aux non-vaccinés de les empêcher de vivre « normalement ».