Les pays riches empruntent donc généralement dans leur propre monnaie, à faible coût et avec peu de risque d’illiquidité. En revanche, les pays à revenu faible et moyen empruntent en devises étrangères (principalement en dollars et en euros), paient des taux d’intérêt exceptionnellement élevés et subissent des arrêts soudains.