Chacun dans nos replis nationalistes, dans nos pensées locales et souvent étriquées pour résoudre un problème global, nous avons loupé le coche de l’universalité. Alors que la pandémie de Covid-19 met en avant les inégalités sociales, économiques, sanitaires ou ethniques, elle nous force aussi à nous penser comme étant tous et toutes sur le même bateau, comme étant tous et toutes vulnérables
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En cent jours à la Maison-Blanche, Biden a engagé à tout-va des milliers de milliards de dollars de dépenses, pour la transition énergétique, les transports, la recherche, la protection sociale, mais aussi augmenté les impôts des plus riches et ceux des entreprises.
L’un des principaux changements socio-économiques que la COVID-19 a accéléré est certainement la montée en puissance des plateformes de travail numériques. Les consignes de confinement et d’isolement, et le recours accru au télétravail qui en résulte, ont considérablement augmenté à la fois leur diffusion et leur intensité d’utilisation.
Chaque jour, 350 000 nouvelles contaminations et plus de 2 000 décès sont enregistrés dans le pays. Une situation dûe à l’imprévisibilité du virus mais également au manque d’anticipation, à l’arrogance et à la démagogie du premier ministre indien.
Depuis le début de la pandémie, le secteur de la Culture souffre. cette souffrance semble désormais intégrée, comme inhérente à la gestion même de la crise sanitaire que le monde traverse. Avec quelques nuances locales éparses, la Culture paraît bien la laissée pour compte de l’épidémie de coronavirus. Dans tous les pays, à quelques degrés divers.
La population vote de plus en plus contre et non pour un parti. Une nouveauté qui a des implications très concrètes sur la démocratie, que ce soit en Belgique, en France ou ailleurs.
À partir d’aujourd’hui, les utilisateurs d’iPhone auront le choix, pour chaque application mobile, entre accepter ou refuser d’être suivis à la trace, grâce à une mise à jour d’Apple potentiellement lourde de conséquences pour l’écosystème publicitaire sur lequel règnent Facebook et Google.
Avec la participation des plus gros pollueurs de la planète, y compris la Chine, le sommet virtuel réuni par le président des Etats-Unis, Joe Biden, a relancé la dynamique mondiale sur le climat et montré que, dans ce domaine, la coopération est possible.
Comme son nom l’indique, instaurer un impôt minimum sur les sociétés à l’échelle mondiale reviendrait à ce que tous les pays du monde – ou à défaut, l’immense majorité d’entre eux – se mettent d’accord sur un taux minimum d’imposition sur les entreprises.
Le XXIe siècle marque une rupture géopolitique radicale, car l’enjeu des tensions passe de la rivalité des États à la survie de l’humanité face au péril environnemental. Le climat s’impose comme un puissant facteur d’unité du monde. Il ne s’agit plus d’abord de la quête de l’hégémonie entre États, mais de la recherche d’un équilibre viable entre biosphère et humanité.
Biden avait présenté en juillet 2020 un programme climatique de 2000 milliards de dollars, avec de nombreux engagements pour une révolution de l’énergie propre, et des propositions beaucoup plus larges inspirées du Green New Deal d’Alexandria Occasio-Cortez, incluant donc la lutte contre les inégalités économiques, sociales et raciales américaines au cœur d’une ambition transformatrice plus large.
Le déploiement de la diplomatie américaine sur la lutte contre le réchauffement climatique consacre le retour de Washington sur cette question, quelques mois seulement après les annonces ambitieuses de Xi Jinping à l’automne. Dans ce contexte, l’Union européenne doit trouver une fenêtre d’opportunité.