Les médecins sont vendus aux Big Pharma ; le Sars-Cov2 est, au choix, une création artificielle maléfique pour nous décimer, un virus inoffensif que l’on agite pour nous faire peur ou un agent pathogène qui ne vise que certains publics et dont nous n’aurions pas à nous soucier, nous les bien portants ; les vaccins n’ont pas été testés, ou renferment des composants suspects, ou auront pour effet à long terme de sélectionner des variants plus agressifs ; quant au gouvernement, il est occupé à établir une dictature toute-puissante ou, au contraire, se compose d’un ramassis d’incapables, infichus d’organiser les services de l’État.
Bref, une frange de plus en plus conséquente de la population serait rétive à respecter des consignes simples pour limiter l’incidence du virus et rejetterait les progrès médicaux qui laissent entrevoir la perspective d’un regain de contrôle de la situation.
Or, si l’on considère que l’objectif est d’atteindre largement plus de 70% de couverture vaccinale au sein de la population générale, on conçoit que ces résistances sont des obstacles considérables.
Ce n’est pas tant que je me soucie d’épargner des vies, mais pour le rentier que je suis, le redémarrage de l’économie est essentiel. Et, du reste, ayant investi dans le pharmaceutique voilà quelque temps, il me semble essentiel d’œuvrer à l’élargissement du marché y compris aux populations sceptiques.
Il semble que les stratégies reposant sur la pédagogie soient peu efficaces, puisque ceux qui se proposent d’expliquer le plus clairement possible la situation et les mesures disponibles, sont des scientifiques à la botte de George Soros ou de Bill Gates, payés par les entreprises pharmaceutiques ou soumis aux diktats des politiques.
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